Retour à la vigilance.
Qui étaient-ils, ces garants
de l’ordre et de la pensée?
Qui les a croqués, en 1932,
dans un pamphlet
dont les réminiscences
occupent notre actualité?
Illustration: La caravane passe, empruntée ici
Retour à la vigilance.
Qui étaient-ils, ces garants
de l’ordre et de la pensée?
Qui les a croqués, en 1932,
dans un pamphlet
dont les réminiscences
occupent notre actualité?
Illustration: La caravane passe, empruntée ici
Je pense à Paul Nizan et son pamphlet, Les chiens de garde.
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« Tout le choix qui se propose est entre deux complicités : complice de la bourgeoisie, complice du prolétariat, le philosophe prendra ouvertement parti. Le temps de la ruse est passé. La seconde complicité comporte la seule fidélité qui compte encore. Qu’elle ne soit point sournoise. Qu’elle ne se masque pas sous les voiles de l’Eternité, de la Raison, de la Justice. Elle sera proclamée. Elle se montrera au grand jour, sans la pudeur antique de la nuit. Plus personne à tromper. Plus personne à séduire. Des coups à recevoir et des coups à porter. »
Paul Nizan, « Les Chiens de garde » (FM/petite collection Maspero, N°10, page 123).
(Voir aussi le film « Les Nouveaux chiens de garde », sorti mercredi dernier.)
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Vieux proverbe berbère :
– « la caravane tré-passe et les chiens de garde sont aux abois… »
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Quelle unanimité! Comme j’arrive bien tard je ne peux que m’y associer!
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