« Et, sans quelle sache pourquoi, le tableau d’Edvard Munch revient à ses yeux. Le Cri… La bouche qui s’ouvre, béante, immonde… Cri étouffé par les vitres. Il se propage en larges ondes concentriques. Déforment l’espace qu’elles envahissent, s’y diffusent en un malstrom silencieux. »
Du signe écrit isolé au texte littéraire, de l'écriture des uns et des autres, à travers les siècles ou les continents, je cherche à partager l'intérêt qui m'anime pour les mots, le verbe, la musique, les couleurs, le mouvement et tant d'autres choses encore...
Je suis/j'étais professeur de lettres, écrivain/toujours, animatrice d'ateliers d'écriture/encore, mais qu'importe le moi dans la course du monde?
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12 commentaires sur “L’énigme du samedi: « et sans qu’elle sache pourquoi le tableau d’Edvard Munch revient à ses yeux »…”
Je ne pense pas que ce soit Paula Jacques mais je tente pour le plaisir de citer cette auteure des deux bords de la Méditerranée qui, de France raconte son Égypte natale
On aura au moins recensé un certain nombre de femmes qui écrivent et ont, dans les conditions qui sont les leurs, le crourage de le faire et, partant, de donner envie de les découvrir et de les lire.
Jeandler a bien raison. Claudialucia a deviné qu’il s’agissait de Cécile Oumhani (dont un extrait de « plus loin que la nuit » permettait de trouver la solution), mais pourquoi ne pas lire également les autres suggestions? Un grand merci à tous pour les visites et participations qui font vivre ces petits billets du week end.
Écritures du monde 
suggérons Andrée Chedid?
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Bien!
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Mais non!
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autre suggestion: Leïla Sebbar
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Cécile Oumhani : Plus loin que la nuit.
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sinon, plus en phase, une troisième: Assia Djebar
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des encres vagabondes…
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Ca m’a fait pense à Darina al-Joundi « Le jour où Nina Simone a cessé de chanter », mais est-elle vraiment écrivain ?
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Je ne pense pas que ce soit Paula Jacques mais je tente pour le plaisir de citer cette auteure des deux bords de la Méditerranée qui, de France raconte son Égypte natale
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On aura au moins recensé un certain nombre de femmes qui écrivent et ont, dans les conditions qui sont les leurs, le crourage de le faire et, partant, de donner envie de les découvrir et de les lire.
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Jeandler a bien raison. Claudialucia a deviné qu’il s’agissait de Cécile Oumhani (dont un extrait de « plus loin que la nuit » permettait de trouver la solution), mais pourquoi ne pas lire également les autres suggestions? Un grand merci à tous pour les visites et participations qui font vivre ces petits billets du week end.
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Le « roman » de la révolution tunisienne s’écrit en ce moment et j’ai donc oublié d’aller visiter l’énigme de samedi dernier.
On sait en tout cas le nom de celui qui, à la fin, perd la face !
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