Du signe écrit isolé au texte littéraire, de l'écriture des uns et des autres, à travers les siècles ou les continents, je cherche à partager l'intérêt qui m'anime pour les mots, le verbe, la musique, les couleurs, le mouvement et tant d'autres choses encore...
Je suis/j'étais professeur de lettres, écrivain/toujours, animatrice d'ateliers d'écriture/encore, mais qu'importe le moi dans la course du monde?
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10 commentaires sur “L’énigme du samedi: splendeur de la nouvelle année lunaire aux pays des dragons…”
de bon matin, je me lance…
Pearl Buck, « Vent d’Est, vent d’Ouest »,
et si c’est pas ça, tant pis.
Ca semble une bonne idée “Vent d’Est, vent d’Ouest”. Je me souviens des pieds bandés. Je serais curieuse de relire ce roman aujourd’hui, voir comment le texte a vieilli.
D’après Wikipédia (bandés), Pearl Buck serait surtout connue pour « La Terre chinoise », équivalent au cinéma de « Quo Vadis »…
Mais je penche plutôt pour une BD très peu connue (et interdite par la Bande des quatre) : « Tintin à Pékin ».
Dans cet album paru en 1961, Hergé, surfant sur le succès de « Tintin au Tibet », envoie son petit reporter se faire l’ambassadeur du Dalaï-Lama auprès de Mao Ze Dong.
Celui-ci se jette à l’eau pour échapper aux assiduités de Milou qui lui caresse sans retenue les mollets. Tintin finit cependant par convaincre le Grand Timonier d’accueillir l’idole tibétaine avec armes et bagages.
Ainsi, Hergé, véritable visionnaire, anticipe les relations harmonieuses qui règnent désormais entre la Chine et le Tibet et pour lesquelles la diplomatie française a montré brillamment, lors des derniers Jeux olympique de Pékin, quel était son pouvoir de conviction humaniste.
Il est normal que « Tintin à Pékin ait laissé des traces profondes chez les lecteurs de l’époque – du moins ceux qui ont pu y avoir accès (sous le manteau), car elle fut censurée en France, lors de sa parution, afin de ne pas envenimer les bonnes relations entretenues par la France à l’époque, et depuis par l’UMP avec le Parti communiste chinois actuel.
On pourrait même accrocher des calicots sur tel ou tel immeuble pour faire revivre, en quelques mots, cette histoire savamment dissimulée aux yeux des amateurs de BD !
Dominique Hasselmann est un grand érudit et aucune BD dissimulée ne lui échappe, pas même l’étymologie secrète de Wikipedia (aux pieds menus)…mais sérieusement, c’est Claudialucia qui a trouvé. Et sans hésitation! Bravo!
Il est tard chez vous, mais l’heure, ici, d’envoyer la solution.
Et bonne année du tigre, à tous!
de bon matin, je me lance…
Pearl Buck, « Vent d’Est, vent d’Ouest »,
et si c’est pas ça, tant pis.
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non, je change d’avis. De la même:
Impératrice de Chine
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Et pourquoi pas, l’Amant, de Duras ?
Et si ce n’est en Chine, une certaine incandescence cependant …
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Bonjour
Peut être « le palanquin des larmes » de Chow Ching Lie?
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ah non, Jeandler, cette fois, vous vous trompez!
Marguerite n’a pas versé dans les images stéréotypées de la Chine traditionnelle (ah mais…) 🙂
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S’il était question d’opéra, et au Japon, j’aurais une réponse.
Ce doit être L’amant, mais les stéréotypes ?
Pas si facile !
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Ca semble une bonne idée “Vent d’Est, vent d’Ouest”. Je me souviens des pieds bandés. Je serais curieuse de relire ce roman aujourd’hui, voir comment le texte a vieilli.
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D’après Wikipédia (bandés), Pearl Buck serait surtout connue pour « La Terre chinoise », équivalent au cinéma de « Quo Vadis »…
Mais je penche plutôt pour une BD très peu connue (et interdite par la Bande des quatre) : « Tintin à Pékin ».
Dans cet album paru en 1961, Hergé, surfant sur le succès de « Tintin au Tibet », envoie son petit reporter se faire l’ambassadeur du Dalaï-Lama auprès de Mao Ze Dong.
Celui-ci se jette à l’eau pour échapper aux assiduités de Milou qui lui caresse sans retenue les mollets. Tintin finit cependant par convaincre le Grand Timonier d’accueillir l’idole tibétaine avec armes et bagages.
Ainsi, Hergé, véritable visionnaire, anticipe les relations harmonieuses qui règnent désormais entre la Chine et le Tibet et pour lesquelles la diplomatie française a montré brillamment, lors des derniers Jeux olympique de Pékin, quel était son pouvoir de conviction humaniste.
Il est normal que « Tintin à Pékin ait laissé des traces profondes chez les lecteurs de l’époque – du moins ceux qui ont pu y avoir accès (sous le manteau), car elle fut censurée en France, lors de sa parution, afin de ne pas envenimer les bonnes relations entretenues par la France à l’époque, et depuis par l’UMP avec le Parti communiste chinois actuel.
On pourrait même accrocher des calicots sur tel ou tel immeuble pour faire revivre, en quelques mots, cette histoire savamment dissimulée aux yeux des amateurs de BD !
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Multiples splendeurs de Han Suyin
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Dominique Hasselmann est un grand érudit et aucune BD dissimulée ne lui échappe, pas même l’étymologie secrète de Wikipedia (aux pieds menus)…mais sérieusement, c’est Claudialucia qui a trouvé. Et sans hésitation! Bravo!
Il est tard chez vous, mais l’heure, ici, d’envoyer la solution.
Et bonne année du tigre, à tous!
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