Du signe écrit isolé au texte littéraire, de l'écriture des uns et des autres, à travers les siècles ou les continents, je cherche à partager l'intérêt qui m'anime pour les mots, le verbe, la musique, les couleurs, le mouvement et tant d'autres choses encore...
Je suis/j'étais professeur de lettres, écrivain/toujours, animatrice d'ateliers d'écriture/encore, mais qu'importe le moi dans la course du monde?
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11 commentaires sur “L’énigme du samedi: la petite fille sans âge et sans adresse”
Influencé par l’image, on pense à une enfance malheureuse. Mais…
Où habite-t-elle, Alice, sinon au pays des rêves?
Depuis toujours? Si longtemps? Cela m’intrigue.
Lewis Caroll en a dressé un portrait idéal.
Pour l’âge, ça colle.
Finirais-je par la rencontrer, sans passer le miroir?
Nathalie Sarraute! 🙂
(eh oui, elle est restée un peu petite fille toute sa vie, consacrant son dernier (beau) roman à son enfance. Quant à son adresse… on dit qu’elle a écrt toute son oeuvre au bistro du coin.
PS: d’ailleurs je l’avais dit déjà il y a deux jours (cf. mon billet sur JMG)
C’est vrai, Jeandler, on aurait pu penser à Cosette, mais faut-il naviguer pour la rencontrer?
Alain, comme on s’en doute après la prédiction du billet sur JMG, j’ai bien été obligée de changer la solution de l’énigme!
J’évite de lire les autres réponses pour ne pas me laisser influencer.
J’ai tout de suite pensé à « La Petite Fille de la haute mer » de Jules Supervielle?
Bon, aujourd’hui je vais copier Jeandler, sa 2e proposition me semble bien correspondre. Comme Chantal ne l’a pas commentée, je me dis… Il y a baleine sous coquillage…
Baleine sous coquillage à l’oreille … ma navigation du soir m’a fait découvrir une « petite fille sans âge », celle de Mohammed Dib, dans « L’infante maure » (mais je n’ai pas trouvé son adresse ! sans doute qq part entre les sapins enneigés des pays nordiques et les dunes du sable algérien, à la recherche d’une identité perdue…).
Eh bien, Nathalie, le coquillage dont parle Jeandler aurait pu mener à la haute mer, n’est-ce pas? Et vous l’auriez rencontrée, « l’enfant de la haute mer »… que Claudialucia a su découvrir. Bravo!
Merci à tous pour le passage amical.
Cosette?
Non, ce serait trop simple.
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Influencé par l’image, on pense à une enfance malheureuse. Mais…
Où habite-t-elle, Alice, sinon au pays des rêves?
Depuis toujours? Si longtemps? Cela m’intrigue.
Lewis Caroll en a dressé un portrait idéal.
Pour l’âge, ça colle.
Finirais-je par la rencontrer, sans passer le miroir?
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Nathalie Sarraute! 🙂
(eh oui, elle est restée un peu petite fille toute sa vie, consacrant son dernier (beau) roman à son enfance. Quant à son adresse… on dit qu’elle a écrt toute son oeuvre au bistro du coin.
PS: d’ailleurs je l’avais dit déjà il y a deux jours (cf. mon billet sur JMG)
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C’est vrai, Jeandler, on aurait pu penser à Cosette, mais faut-il naviguer pour la rencontrer?
Alain, comme on s’en doute après la prédiction du billet sur JMG, j’ai bien été obligée de changer la solution de l’énigme!
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Hum hum… je sèche, après avoir longuement navigué sans succès!
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J’évite de lire les autres réponses pour ne pas me laisser influencer.
J’ai tout de suite pensé à « La Petite Fille de la haute mer » de Jules Supervielle?
Bien amicalement
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Bon, aujourd’hui je vais copier Jeandler, sa 2e proposition me semble bien correspondre. Comme Chantal ne l’a pas commentée, je me dis… Il y a baleine sous coquillage…
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Portons, Nathalie, le coquillage à l’oreille: il nous dira, peut-être, le secret de cette petite fille!
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Baleine sous coquillage à l’oreille … ma navigation du soir m’a fait découvrir une « petite fille sans âge », celle de Mohammed Dib, dans « L’infante maure » (mais je n’ai pas trouvé son adresse ! sans doute qq part entre les sapins enneigés des pays nordiques et les dunes du sable algérien, à la recherche d’une identité perdue…).
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Eh bien, Nathalie, le coquillage dont parle Jeandler aurait pu mener à la haute mer, n’est-ce pas? Et vous l’auriez rencontrée, « l’enfant de la haute mer »… que Claudialucia a su découvrir. Bravo!
Merci à tous pour le passage amical.
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