Ces quelques mots pour suggérer cet auteur et cet ouvrage que vous ne pouvez pas ne pas avoir rencontrés à un moment ou à un autre de l’année en cours.
Facile, n’est-ce pas, cette évocation partagée? Vous avez bien sûr déjà votre idée…
Du signe écrit isolé au texte littéraire, de l'écriture des uns et des autres, à travers les siècles ou les continents, je cherche à partager l'intérêt qui m'anime pour les mots, le verbe, la musique, les couleurs, le mouvement et tant d'autres choses encore...
Je suis/j'étais professeur de lettres, écrivain/toujours, animatrice d'ateliers d'écriture/encore, mais qu'importe le moi dans la course du monde?
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9 commentaires sur “L’énigme du samedi: Des images, une à une, comme des perles à enfiler pour fabriquer le livre de nos vies”
Wouahouou ! Mais, ce samedi matin de rentrée des classes, serais-je la première derrière mon écran ? Avec même une petite idée… si elle n’était perturbée par cette illustration Andy Warhol ; je ne saisis pas le lien, à moins que :
– vrai indice : l’image de Marilyn pour nous indiquer que l’auteur(e) recherché est une femme ?
– vraie fausse piste : ces images tout en couleurs pour nous suggérer de plonger dans les cartons d’anciennes photos en noir et blanc ?
Ah ! La reprise de l’énigme du samedi, voilà qui colle bien avec la rentrée des classes.
Livre d’une génération, dont on a parlé cette année ? Un truc sur Mai 68 ? Kerouac ?
En vrac, Rosnay, Tournier, Finkel avec Amélie….il pleut tellement que je suis à plus de vingt mille lieues sous les mers ! Mais j’adore les énigmes. (J’espère que ce n’est pas le bouquin sur le prince !!!!)
Quoi ????? L’énigme du samedi était là et je ne le savais pas ???? Arghhhh !!!!
Alors, je tente « Les années » d’Annie Ernaux que je n’ai pas lu, mais autour de qui j’ai lu des tas de choses tellement élogieuse que je me sens une grosse paresseuse de ne pas l’avoir encore acheté. (je le propose à cause des indices « femme » et « réminiscence »…)
J’ai bon oui ou bien hein ?
Kiki 🙂
J’ai lu Ernaux et je n’ai pas aimé, en rien, précisément pour cet enchaînement de perles, à la queue leu-leu, sans relief ni pétillant.
Laissant l’impression d’avoir vécu l’absurde ou lire les unes de Paris-Match.
Bonsoir Chantal, s’il s’agit d’un contemporain, sincèrement, aucune idée.
C’est peut-être « celui de toute une génération » qui me bloque…
On ne m’aurait rien dit? Je ne me serais pas suffisamment renseigné?
La seconde hypothèse doit être la bonne! 🙂
« La comédie était finie, le rideau tombé. L’énigme de cet être restait entière. Son identité, ses vêtements sans cesse dépouillés dans lesquels Marilyn se masquait, se livrait, se masquait encore. Son transfert théâtral, ce trop d’amour qu’elle lui témoignait. Sa passion d’être nue. Son image faite d’exil et de tremblement, comme en déséquilibre au bord de l’écran. Cette façon qu’elle avait dans la vie comme dans ses films de marcher sur le fil invisible qui sépare le réel brut de l’absolue fiction. (…) »
Michel Schneider, « Marilyn dernières séances » (Grasset 2006, Folio janvier 2008, page 459.)
Wouahouou ! Mais, ce samedi matin de rentrée des classes, serais-je la première derrière mon écran ? Avec même une petite idée… si elle n’était perturbée par cette illustration Andy Warhol ; je ne saisis pas le lien, à moins que :
– vrai indice : l’image de Marilyn pour nous indiquer que l’auteur(e) recherché est une femme ?
– vraie fausse piste : ces images tout en couleurs pour nous suggérer de plonger dans les cartons d’anciennes photos en noir et blanc ?
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Ah ! La reprise de l’énigme du samedi, voilà qui colle bien avec la rentrée des classes.
Livre d’une génération, dont on a parlé cette année ? Un truc sur Mai 68 ? Kerouac ?
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En vrac, Rosnay, Tournier, Finkel avec Amélie….il pleut tellement que je suis à plus de vingt mille lieues sous les mers ! Mais j’adore les énigmes. (J’espère que ce n’est pas le bouquin sur le prince !!!!)
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Quoi ????? L’énigme du samedi était là et je ne le savais pas ???? Arghhhh !!!!
Alors, je tente « Les années » d’Annie Ernaux que je n’ai pas lu, mais autour de qui j’ai lu des tas de choses tellement élogieuse que je me sens une grosse paresseuse de ne pas l’avoir encore acheté. (je le propose à cause des indices « femme » et « réminiscence »…)
J’ai bon oui ou bien hein ?
Kiki 🙂
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élogieuse avec un s.
Ah la la.
PittoyableKiki 🙂
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J’ai lu Ernaux et je n’ai pas aimé, en rien, précisément pour cet enchaînement de perles, à la queue leu-leu, sans relief ni pétillant.
Laissant l’impression d’avoir vécu l’absurde ou lire les unes de Paris-Match.
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Bonsoir Chantal, s’il s’agit d’un contemporain, sincèrement, aucune idée.
C’est peut-être « celui de toute une génération » qui me bloque…
On ne m’aurait rien dit? Je ne me serais pas suffisamment renseigné?
La seconde hypothèse doit être la bonne! 🙂
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« La comédie était finie, le rideau tombé. L’énigme de cet être restait entière. Son identité, ses vêtements sans cesse dépouillés dans lesquels Marilyn se masquait, se livrait, se masquait encore. Son transfert théâtral, ce trop d’amour qu’elle lui témoignait. Sa passion d’être nue. Son image faite d’exil et de tremblement, comme en déséquilibre au bord de l’écran. Cette façon qu’elle avait dans la vie comme dans ses films de marcher sur le fil invisible qui sépare le réel brut de l’absolue fiction. (…) »
Michel Schneider, « Marilyn dernières séances » (Grasset 2006, Folio janvier 2008, page 459.)
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