Du signe écrit isolé au texte littéraire, de l'écriture des uns et des autres, à travers les siècles ou les continents, je cherche à partager l'intérêt qui m'anime pour les mots, le verbe, la musique, les couleurs, le mouvement et tant d'autres choses encore...
Je suis/j'étais professeur de lettres, écrivain/toujours, animatrice d'ateliers d'écriture/encore, mais qu'importe le moi dans la course du monde?
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7 commentaires sur “L’énigme du samedi: Dans un jardin pas comme les autres”
Je pense à l’auteur de la Cité des anges déchus, pas encore paru en France, qui s’appelle John Berendt et qui a écrit un roman dont s’est servi Clint Eastwood pour un de ses films : Minuit dans le Jardin du Bien et du mal.
Ce jardin serait donc celui-là.
RV
Sinon, et ça n’a rien avoir, j’ai beaucoup aimé « Le jardin des bêtes sauvages » de Duhamel, je me rappelle que ça faisait partie de la Chronique des Pasquiers, et j’aimais bien. Je m’en suis souvenue à cause du mot jardin.
Kiki
Et également au « Jardin des supplices » d’Octave Mirbeau.
Mais l’expression « auprès de eux qu’on a aimés ou détestés », renvoie à des êtres qui ont disparu…un jardin où retrouver les disparus…le jardin des disparus?
La solution tout de suite.
Je pense à l’auteur de la Cité des anges déchus, pas encore paru en France, qui s’appelle John Berendt et qui a écrit un roman dont s’est servi Clint Eastwood pour un de ses films : Minuit dans le Jardin du Bien et du mal.
Ce jardin serait donc celui-là.
RV
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Humm…
Voilà une suggestion intéressante et matinale. Bravo et merci pour être fidèles au poste!
Mais je pense toutefois à un autre jardin…
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Mais comment poussent donc vos fleurs ? d’Agatha Christie… à cause de l’intrigue et du terme redoutable ?
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Oui, pourquoi pas?
Mais le jardin « auprès de ceux qu’on a aimés…ou détestés? »
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Sinon, et ça n’a rien avoir, j’ai beaucoup aimé « Le jardin des bêtes sauvages » de Duhamel, je me rappelle que ça faisait partie de la Chronique des Pasquiers, et j’aimais bien. Je m’en suis souvenue à cause du mot jardin.
Kiki
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Je pense évidemment à « effroyables jardins », le roman de Michel Quint.
Alain
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Et également au « Jardin des supplices » d’Octave Mirbeau.
Mais l’expression « auprès de eux qu’on a aimés ou détestés », renvoie à des êtres qui ont disparu…un jardin où retrouver les disparus…le jardin des disparus?
La solution tout de suite.
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