Du signe écrit isolé au texte littéraire, de l'écriture des uns et des autres, à travers les siècles ou les continents, je cherche à partager l'intérêt qui m'anime pour les mots, le verbe, la musique, les couleurs, le mouvement et tant d'autres choses encore...
Je suis/j'étais professeur de lettres, écrivain/toujours, animatrice d'ateliers d'écriture/encore, mais qu'importe le moi dans la course du monde?
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11 commentaires sur “L’énigme (facile) du samedi: Du pouvoir des mots ?”
Heureux de te retrouver à la page du samedi, silencieuse amie. Pour un livre oublié, dites-vous? Il y en a tant! Que cela mérite réflexion.
Je crois également qu’il s’agit du Silence de la mer de Vercors.
Mince alors, pour une fois que je détenais la réponse, quelqu’un a été plus rapide à pianoter sur le clavier. Du coup, ça me donne envie de relier ce « petit » chef d’oeuvre.
Enfin, l’essentiel est que ce blog reprenne son activité!
Juste pour ajouter un mot sur le « pouvoir des photos » : l’attitude de ce gamin sur la photo … c’est très exactement ce que je voudrais faire pour me soustraire à cet « abominable tintamarre »… !!!
Comme je suis ravie de vous retrouver après cette assez longue parenthèse!
Merci à tous, très sincèrement, pour ces amicales retrouvailles.
J’avais bien dit que l »énigme » était facile à résoudre. Il n’en reste pas moins que notre ami Jeandler a été très rapide!
Oui, la photo. Je voudrais signaler que je l’ai empruntée à Louis Miguel Bugallo Sanchez qui l’avait déposée sur wikipedia.
Je trouve en effet qu’elle correspond assez bien à l’attitude que nous avons envie d’adopter à l’écoute de certains discours…
Allez, dans la soirée, le texte de la solution…
A plus tard.
Chef d’oeuvre que j’ai eu la chance de lire jeune chez mes parents dans l’édition originale des Editions de Minuit sur un épouvantable papier spongieux avec une couverture en papier kraft et que j’ai eu le malheur de perdre, prêté à un malotru qui ne l’a jamais rendu.
Heureux de ton retour.
Je pense que ce fut l’occasion pour bon nombre d’entre nous de rouvrir ce livre de Vercors.
» Le petit garçon mit sa petite main dans celle de son père sans s’étonner. Pourtant il y avait longtemps, pensait-il. On sortit du jardin. Maman avait mis un pot de géranium à la fenêtre de la cuisine, comme chaque fois que papa sortait. C’était un peu drôle. »
…………
« Allons »
…………
« Le pot de géranium… il n’y était plus. »
Heureux de te retrouver à la page du samedi, silencieuse amie. Pour un livre oublié, dites-vous? Il y en a tant! Que cela mérite réflexion.
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Le silence de la mer de Vercors? Il n’est pas si oublié que cela!
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Je crois que jeanler a été très rapide ! et qu’il a raison.
Heureuse de vous retrouver ! L’abominable tintamarre s’assourdit un peu sur ce blog…
Kiki
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Bonjour,
Ravi de vous retrouver !
Je me suis laissé surprendre par votre retour et je constate comme Posuto ( Kiki ) que jeandler a probablement trouvé la réponse.
Bonne journée et rassurez-vous en Ardèche le temps est gris aussi !
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Je crois également qu’il s’agit du Silence de la mer de Vercors.
Mince alors, pour une fois que je détenais la réponse, quelqu’un a été plus rapide à pianoter sur le clavier. Du coup, ça me donne envie de relier ce « petit » chef d’oeuvre.
Enfin, l’essentiel est que ce blog reprenne son activité!
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Juste pour ajouter un mot sur le « pouvoir des photos » : l’attitude de ce gamin sur la photo … c’est très exactement ce que je voudrais faire pour me soustraire à cet « abominable tintamarre »… !!!
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Comme je suis ravie de vous retrouver après cette assez longue parenthèse!
Merci à tous, très sincèrement, pour ces amicales retrouvailles.
J’avais bien dit que l »énigme » était facile à résoudre. Il n’en reste pas moins que notre ami Jeandler a été très rapide!
Oui, la photo. Je voudrais signaler que je l’ai empruntée à Louis Miguel Bugallo Sanchez qui l’avait déposée sur wikipedia.
Je trouve en effet qu’elle correspond assez bien à l’attitude que nous avons envie d’adopter à l’écoute de certains discours…
Allez, dans la soirée, le texte de la solution…
A plus tard.
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Chef d’oeuvre que j’ai eu la chance de lire jeune chez mes parents dans l’édition originale des Editions de Minuit sur un épouvantable papier spongieux avec une couverture en papier kraft et que j’ai eu le malheur de perdre, prêté à un malotru qui ne l’a jamais rendu.
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Mais peut-être médite-t-il encore sur le mystère du silence?
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Heureux de ton retour.
Je pense que ce fut l’occasion pour bon nombre d’entre nous de rouvrir ce livre de Vercors.
» Le petit garçon mit sa petite main dans celle de son père sans s’étonner. Pourtant il y avait longtemps, pensait-il. On sortit du jardin. Maman avait mis un pot de géranium à la fenêtre de la cuisine, comme chaque fois que papa sortait. C’était un peu drôle. »
…………
« Allons »
…………
« Le pot de géranium… il n’y était plus. »
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Très bon retour à vous !
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