Voilà un livre à lire sans plus attendre (la période s’y prête, grâce à la stupéfiante description des préparatifs de Noël à Copenhague et également dans la campagne norvégienne), tranquillement assis au coin du feu ou entre la poire et la bûche, tandis que les réveillons s’éternisent..
Ne bouder ni son plaisir, ni son intérêt pour la lente approche de secrets familiaux dont on se félicite qu’ils ne nous appartiennent pas. Au fond, tout est vraiment léger autour de nous!
Art consommé de l’hyper-réalisme littéraire, exotisme nordique, construction maîtrisée d’une intrigue universelle, tout concourt à garder le lecteur en état de vigilance maximum.
Le fait est plutôt rare pour qu’il soit signalé.
En ces temps de fêtes artificielles ou non, mes excuses mais je ne regarde plus de calendrier avant la fin des tempêtes médiatico-commerciales.
Or donc j’ai loupé le « samedi » et donc cette énigme.
Ma confusion est réelle.
D’autant que je n’ai pas lu : « Berlinerpoplene » (titre original) ce qui m’enfonce encore un peu plus…
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ZUT
je rate la marche de samedi dernier et tombe à côté de l’enigme
ce samedi d’aujourd’hui, je fais donc un noeud à mes cheveux au cas où je passerais devant un miroir, j’aurais même acheté un journal si je n’avais à changer de département pour en dénicher un
et flop
pas d’énigme
à moins que l’énigme ne réside dans cette apparence d’absence
reZut
je retourne à mes casseroles
il paraît qu’un réveillon est incontournable ce soir ?
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Oui, pareil que JEA, j’ai « zappé » l’énigme (mais Jeandler aussi, apparemment !), elle restera donc non déflorée jusqu’à la lecture de ce livre aux jolies maisons de couleur.
Bonne année à vous !
Dominique
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OK, camarades! Mais les énigmes non déflorées ne sont-elles pas les plus belles?
Bonne année, si faire se peut, à notre hôtesse et à tous.
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Pas très originale: j’étais loin d’Internet pour cette énigme que je n’aurais de toutes les façons pas trouvée! Bonne année 2012 et bonnes lectures!
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