Du signe écrit isolé au texte littéraire, de l'écriture des uns et des autres, à travers les siècles ou les continents, je cherche à partager l'intérêt qui m'anime pour les mots, le verbe, la musique, les couleurs, le mouvement et tant d'autres choses encore...
Je suis/j'étais professeur de lettres, écrivain/toujours, animatrice d'ateliers d'écriture/encore, mais qu'importe le moi dans la course du monde?
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12 commentaires sur “L’énigme du samedi: poétique et révolutionnaire…”
Pas facile d’opter pour un livre cité qui collerait parfaitement à votre commentaire selon lequel ce roman fut déclaré comme étant subversif et ne menaçant pas les nantis de ce pays exsangue.
Olympe de Gouges : ce pourrait être L’esclavage des noirs, mais il n’est ni roman ni posthume. En posthume, il y en a un, mais…
Segalen: on est influencé car l’on connaît ben ici les exploits de Dominique H., mais ça ne colle pas tout à fait au qualificatif de «poétique et révolutionnaire».
Mes faveurs iraient bien vers Dom A., mais Bienaimé est trop grognon pour que le roman soit «poétique»; certes, le pays est exsangue à cette date, et des nantis eussent pu craindre…
Reste Alain L., mais là encore, est-ce bien «poétique» ?
Ce n’est pas La Case de l’Oncle Tom.
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Compte tenu des circonstances j’aurais bien proposé Jacques Roumain et son Gouverneurs de la rosée, mais il faut ici rester toujours prudent !
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Ce n’est pas Tintin au Congo.
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Je pense à Olympe de Gouges mais je ne trouve pas de titre qui corresponde…
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Ce n’est pas « Autant en emporte le vent ».
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– Chine
– « René Leys »
– Victor Segalen.
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on peut risquer (mais risquer seulement) le roman posthume d’Ahmadou Kourouma: quand on refuse, on dit non…. (?)
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Senghor en poshume, mais j’ai du mal…
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Hum…c’est dans l’air!
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Pas facile d’opter pour un livre cité qui collerait parfaitement à votre commentaire selon lequel ce roman fut déclaré comme étant subversif et ne menaçant pas les nantis de ce pays exsangue.
Olympe de Gouges : ce pourrait être L’esclavage des noirs, mais il n’est ni roman ni posthume. En posthume, il y en a un, mais…
Segalen: on est influencé car l’on connaît ben ici les exploits de Dominique H., mais ça ne colle pas tout à fait au qualificatif de «poétique et révolutionnaire».
Mes faveurs iraient bien vers Dom A., mais Bienaimé est trop grognon pour que le roman soit «poétique»; certes, le pays est exsangue à cette date, et des nantis eussent pu craindre…
Reste Alain L., mais là encore, est-ce bien «poétique» ?
J’ai le flair qui flanche 😉
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les damnés de la Terre de Frantz Fanon mais c’est plus théorique que poétique
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Amadou Hampâte Bâ, Amkoullel l’enfant peul ? Un livre culte en effet
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