Guillaume Apollinaire. Qui peut mieux que lui incarner l’identité européenne dans cet espace déchiré du début du XX° siècle?
Il en parcourt l’espace d’est en ouest. Sa mère est polonaise et son père…Il ne sait pas. Italien peut-être? Il naît à Rome en 1880. Plus tard, précepteur dans une famille allemande il vit sa « période rhénane ». Il tombe amoureux. Et poursuit l’aimée jusqu’en Angleterre… »Un soir de demi brume à Londres »…
Afin d’obtenir la nationalité française, il s’engage. Il est blessé à la tempe. Affaibli, il ne survivra pas à la grippe espagnole .(1918)
Alain L ne s’y est pas trompé en donnant immédiatement le nom du poète. Mais c’est Claudialucia qui a proposé la première Apollinaire et le poème « La colombe poignardée et le jet d’eau ».
oui. Mais j’avais Apollinaire dans la tête depuis que j’avais lu en visitant l’expo sur Kandinsky, qu’il n’avait pas su apprécier l’inventeur de l’art abstrait à sa juste valeur. La personne qui a rédigé la biographie de K. insinue que c’est par chauvinisme qu’Apollinaire ne voyait en l’artiste russo-allemand qu’une mauvaise imitation de Matisse… Alors, Apollinaire… si européen que cela?
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Comment pouvoir « tout » apprécier à sa juste valeur? Qui le pourrait?
Il fut sur tous les fronts (si l’on peut dire). Défenseur de Picasso, Ernst et tous les autres avant que l’effet de mode et de célébrité n’en fassent les icônes que l’on sait. Et puis, Européen par lui-même, ses origines et ses errances, ses rencontres, sa culture et certainement ses souffrances dans l’espace déchiré que j’évoque et dont, en défintive… il mourra.
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On pouvait aussi penser à Eluard et ce qui m’a induit en erreur c’est la peste espagnole que j’ai interprétée comme le fascisme (dévorant ses enfants), l’implication du poète et surtout la chute du poème.
Parias la mort la terre et la hideur
De nos ennemis ont la couleur
Monotone de notre nuit
Nous en aurons raison.
Mais il est vrai que la colombe était l’indice absolu.
Merci Chantal de nous permettre ce jeu de devinette
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Zoë, merci à vous, de vous prêter au jeu de ces évocations littéraires qui ont souvent un lien avec l’actualité. Merci très sincèrement à vous et à tous les amis de passage, qui apportent leurs propres réflexions et remarques diverses enrichissant cette rencontre hebdomadaire.
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non mais vs avez rien compris kan on tape commentaire « la colombe poignardée et le jet d’eau » on attend un commentaire composé pas VOS commentaire on s’en fiche de sa -_-‘
…fo tt leur expliker alala
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Vous aimez APOLLINAIRE, vous allez aimer,
présélectionné pour le concours de roman 2011
“100 ans avant minuit”
Éric Chatillon
Cliquez sur http://www.bordulot.fr/page25/page56/page56.html
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