Du signe écrit isolé au texte littéraire, de l'écriture des uns et des autres, à travers les siècles ou les continents, je cherche à partager l'intérêt qui m'anime pour les mots, le verbe, la musique, les couleurs, le mouvement et tant d'autres choses encore...
Je suis/j'étais professeur de lettres, écrivain/toujours, animatrice d'ateliers d'écriture/encore, mais qu'importe le moi dans la course du monde?
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15 commentaires sur “L’énigme du samedi: être ou ne pas être cet homme ainsi défini”
Le refus de toute idéologie, au XXème siècle ?
Je ne suis pas certain que Camus les « refuse » mais qui suis-je pour le prétendre ?
Je sèche (donc je suis).
S’il n’y avait eu que l’absurde, j’aurai pensé à Ionesco, Jarry ou Kafka, mais révoltés…. L’association d’absurde et révolté me fait opter pour Camus et son Sisyphe (heureux), déjà proposé par pagesapages.
Mais c’est évident! Moi-même!
J’avais pourtant interdit qu’on dévoilât ce pour quoi je me bats depuis ma naissance (et même avant).
J’ai horreur de la célébrité et du succès, car elle empêche, entre autres, d’aller au sex-shop incognito. Tout le monde peut désormais savoir la saveur des petites culottes mangeables que j’achète.
Depuis que vous m’avez dévoilé, je reste terré chez moi avec mes chinchillas, mes aigrettes et mes plues d’oie.
Je donne ma langue au chat… Beaucoup d’écrivains modernes ou anciens – Rabelais, Montaigne… pourquoi pas Shakespeare, en effet, sans oublier La Boétie et sa « servitude volontaire » – pourraient convenir mais si l’on parle d’idéologie et de lutte, plutôt que Romain Rolland, c’est sans doute Camus qui émerge (ou alors le Ionesco du « Rhinocéros).
Je pense notamment au médecin de « La peste » (j’ai oublié son nom et en cette journée de farniente, pas le courage d’aller chercher dans mes rayons !) dont la philosophie consistait, à défaut de faire toujours le bien d’au moins faire le moins de mal possible… Cela me convient tout à fait !
Rabelais.
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Camus et l’Etranger ?
(j’ai droit à combien de réponses ?)
(quand est-ce que j’aurais les 1000 euros ?)
(où est Lucien Jeunesse ?)
🙂
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@ pagesapages : Lucien Jeunesse s’est fait s(t)oufflet.
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@Chr. Borhen : je ne vous crois pas. Lucien Jeunesse est comme Batman, indestructible ! (je suis très gamine, le samedi 🙂 ).
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Pour un sujet si grave, vous me semblez bien légers ce matin, mes amis!
Etre ou ne pas être.
Cela nous distrait de la question posée.
Pascal? Trop d’idéologie. Montaigne, aurais plutôt ma préférence.
Romain Rolland, au-dessus de la mêlée?
Et, pourquoi pas, chère pagesapages, Camus!
Et tant d’autres d’autres: cernerons-nous jamais « l’humaine condition » en son imperfection?
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L’illustration (Delacroix) est-elle contemporaine (postérieure ou antérieure) à l’écrivain ? allez !!!! un indice quoi ??
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William Shakespeare.
Staline.
Jésus.
Ma concierge.
Benoit 16
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Le refus de toute idéologie, au XXème siècle ?
Je ne suis pas certain que Camus les « refuse » mais qui suis-je pour le prétendre ?
Je sèche (donc je suis).
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S’il n’y avait eu que l’absurde, j’aurai pensé à Ionesco, Jarry ou Kafka, mais révoltés…. L’association d’absurde et révolté me fait opter pour Camus et son Sisyphe (heureux), déjà proposé par pagesapages.
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Revenir à Romain Rolland et à son monumental Jean-Christophe…
sinon à Au-dessus de la mêlée. Un être partagé, un écrivain si proche de l’humain…
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Mais c’est évident! Moi-même!
J’avais pourtant interdit qu’on dévoilât ce pour quoi je me bats depuis ma naissance (et même avant).
J’ai horreur de la célébrité et du succès, car elle empêche, entre autres, d’aller au sex-shop incognito. Tout le monde peut désormais savoir la saveur des petites culottes mangeables que j’achète.
Depuis que vous m’avez dévoilé, je reste terré chez moi avec mes chinchillas, mes aigrettes et mes plues d’oie.
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on ne pense qu’à Shakespeare pour mériter pareil éloge!
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Oui, pas d’Hamlet sans casser d’oeufs.
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Je donne ma langue au chat… Beaucoup d’écrivains modernes ou anciens – Rabelais, Montaigne… pourquoi pas Shakespeare, en effet, sans oublier La Boétie et sa « servitude volontaire » – pourraient convenir mais si l’on parle d’idéologie et de lutte, plutôt que Romain Rolland, c’est sans doute Camus qui émerge (ou alors le Ionesco du « Rhinocéros).
Je pense notamment au médecin de « La peste » (j’ai oublié son nom et en cette journée de farniente, pas le courage d’aller chercher dans mes rayons !) dont la philosophie consistait, à défaut de faire toujours le bien d’au moins faire le moins de mal possible… Cela me convient tout à fait !
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Miguel de Unamuno ? Antonio machado ?
Ils sont espagnols et morts, mais correspondent si bien à la définition…
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