Sa manière d’utiliser les pronoms
vertigineuse distanciation,
lui fait concilier tradition culturelle
et modernité langagière.
Son ouvrage qui atteint des hauteurs inaccessibles
a fait grimper son éditeur au sommet de la reconnaissance.
Bien sûr
vous avez deviné
et l’auteur
et l’ouvrage en question
Je dirai Ernest Hemingway, pour le style novateur, la distance poignante et la découverte du kilimandjaro…
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Kiki propose Michel Butor, la Modification. Moi (RV) je penserais plutôt à Atik Rahimi, Pierre de patience…
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Timidement, Roger Frison-Roche et son Premier de Cordée, édité par la maison Arthaud, à Grenoble?
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Thomas Mann – La montagne magique.
…?
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Erri De Luca l’écrivain montagnard…ou alors Samivel aux éditions Arthaud depuis des lustres.
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Ché pas pourquoi mais j’ai comme l’intuition que « hauteurs inaccessibles » évoquées sont une image destinée à nous promener un peu, et qu’il ne faut pas chercher du côté de la montagne.
Bon,cela dit, mais je n’ai pas d’oeuvre à proposer. En associant écrivain et pronom dans un moteur de recherche, je suis arrivée sur des auteurs : Flaubert et Sartre mais là, je crains le hors sujet. Je laisse donc la main…
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Courage !
Claude Simon pour La route des Flandres, ou plutôt l’Acacia ?
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Je pense à « La Montagne de l’âme » de Gao Xingjian prix Nobel de littérature 2000. Editions de l’aube
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Les pronostics sont très ouverts! Il y a tant de sommets à conquérir: on part, certes, et ne sait quand on arrivera; on va, on vient, il erre, elle se perd, et quand l’un s’essouffle, l’autre soupire, mais personne ne décroche et lui brode.
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L’anonyme c’est jeandler l’étourdi, grisé par l’air des cimes à moins qu’il n’ait le vertige …
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Je rejoue :
Voyage au bout de la nuit – Céline
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Merci a vous tous. C’est Claudialucia qui l’emporte…Bravo!
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