
« Roman le plus engagé de Dickens, Les Temps difficiles (1854), nous plonge dans les débuts de la révolution industrielle qui transforme l’aimable campagne anglaise
en un pandémonium d’usines, de canaux, d’installations minières, de fabriques, d’entrepôts, de banlieues misérables, où survit un prolétariat totalement exploité et où le travail des enfants apparaît naturel. Sous un ciel de suie, Coketown, la ville du charbon (Manchester en réalité), est d’autant plus l’image de l’enfer que la classe ouvrière n’y est pas encore organisée et qu’elle apparaît ainsi comme la victime toute désignée de politiciens sans scrupules et d’une bourgeoisie, parfois compatissante et troublée dans son confort moral, mais toujours persuadée de la divinité de ses droits. Le roman de Dickens correspond point pour point à l’analyse qu’en ces mêmes années et dans cette même Angleterre, Fr. Engels entreprenait de la naissance du capitalisme moderne. »
(Source Ebooksgratuits.com)
Résumé:
M. Gradgrind a donné à ses enfants Tom et Louise, une éducation rigoureuse, sans tendresse, ne laissant place ni à l’imagination, ni à la rêverie, comme il nous l’explique: «Ce que je veux, ce sont des faits. Enseignez des faits à ces garçons et à ces filles, rien que des faits. Les faits sont la seule chose dont on ait besoin ici-bas.». Louise épouse M. Bounderby, l’ami de M Gradgrind, riche industriel parti de rien et fier de sa réussite. Il emploiera Tom dans sa banque comme comptable. Le destin semble tracé pour tout le monde, quand un nouveau personnage entre en scène, M. Harthouse, un jeune dandy qui a beaucoup d’influence sur Tom. De plus un vol survient à la banque de M. Bounderby. Un honnête ouvrier, Étienne Blackpool, est accusé du vol, mais qui est réellement le coupable?… »
Edition groupe Ebooks libres et gratuits
Roman à télécharger gratuitement au format PDF – 900 Ko – 441 pages
l’image du livre vide de la présentation de l’énigme est empruntée à ce site
Photo de Carla Bruni Sarkosy empruntée à celui-ci.
Sarkozy, avec un « Z » comme Zorro.
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J’ai justement entendu hier un « économiste » ? enfin, un gens qui causait bien, parler avec admiration de la période Thatcher. Un exemple à suivre qu’il disait, ah la la. Sur le coup c’était douloureux bien sûr, mais après qu’est-ce que ça allait mieux qu’il disait aussi…
(je n’ai lu que « De Grandes Espérances. » Du coup, je n’en ai plus.
Ah la la, je retourne me coucher dites donc)
Kiki 🙂
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Roman à télécharger gratuitement ???
Mais où va-t-on si la culture se donne !!!
(chouette, je me relève du coup)
Kiki2
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en extension et pour ceux qui lisent l anglais procurez vous Mr Pip, de Lloyd Jones – la tragique et fantastique rencontre avec Mr Dickens
Matilda lives on an island somewhere in the Pacific-but this is no paradise. Civil war is a fact of life, though at first the village is largely left alone by the soldiers and the rebel fighters. The school is closed but then Mr Watts, the only white man on the island, steps forward to do what he can to help. He begins by reading Great Expectations aloud to his students, a chapter a day.
Stories flourish on the island. While the lives of Pip and Magwitch and other Dickens’ characters are transformed in their new tropical setting, the locals come to the schoolhouse to tell their own tales-about the meaning of the colour blue, about broken dreams, black birds and devil women.
In Matilda’s eyes, Pip is as real as any living person. He has become her friend. She writes his name in the sand and decorates it with shells. That’s where the redskin soldiers see it, and decide they must track this stranger down. Who is this Mr Pip? The search to find him will have devastating consequences for Matilda, Mr Watts and the entire village.
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Une très belle énigme! Si proche et pas encore si lointaine que ça mais je déteste le XIXème siècle et pour cause, la mise en place des horreurs industrielles et modernes que nous amplifions avec bien d’autres moyens mais avec toujours autant sinon plus, de misères.
Bonne semaine à tous.
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Votre environnement semble rempli de « gens de qualité », de toutes les bontés pourvus, pour qui « la belle chose serait de savoir et de ressentir quelque chose ». Vendredi qui rêve d’explorer Saturne et ses lunes, dans les caniveaux de la grande ville, se nourrit de la soupe primitive d’un nouveau monde.
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Pas si simple (voire simpliste que cela) , je pense.
Ne jamais réduire la pensée à son unicité laminante et Vendredi a bien raison de rêver d’explorer Saturne et ses lunes, encore même ne serait-ce que leur reflet dans le caniveau!
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vous pouvai l’écrire en anglaise please merci
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Hélas!
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