Bravo, Elisabeth!
Les All Blacks n’ont peut-être pas gagné…mais la Nouvelle Zélande gagne la solution de l’énigme.
Bien sûr, le pianotage sur Google à partir des mots de l’énigme, (« Quatrième roman saison », par exemple) menait à la solution intuitive grâce au site « d’Ethiopiques » .
C’est Doris Lessing, tout-à-coup (re)mise en lumière grâce à l’attribution du Prix Nobel qui m’a donné l’envie de retrouver André Brink , cet écrivain comme elle, grand témoin de la vie quotidienne d’une Afrique, une et multiple, incandescente et sombre, tendre et cruelle, aux mains de prédateurs obscurs ou connus, parfois libérée, parfois soumise..
L’atmosphère de « Une saison blanche et sèche « ( prix Médicis 1980), renvoie aux pires moments de l’apartheid en Afrique du Sud. C’est un livre écrit, construit avec cette rigueur que les grands romanciers anglo-saxons savent si bien maîtriser. Cet homme « qui voulait savoir », c’est en effet Ben, le héros du roman, cet Afrikaner bien tranquille qui cherche à découvrir pourquoi le jeune fils de Gordon, le jardinier noir de l’école où il enseigne, a disparu sans laisser de trace dans les locaux de la police sud-africaine…
L’illustration de la présentation de l’énigme est évidemment empruntée à Arcimboldo . Il s’agit de « l’hiver « . Un jeu de correspondances inconscientes m’a amenée à ce tableau: la lumière froide, les branches mortes, le caractère effrayant du portrait peut-être…Qu’importe l’anachronisme et les espaces emmêlés!
C’est drôle de voir le fil qui entraîne Chantal d’une idée à l’autre pour mieux divertir nos samedis !
Tout se tient, du rugby au portrait de feuilles et de fruits. Et bravo à Elizabeth qui a fait preuve d’une intuition haut de gamme !
Kiki 🙂
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A propos de fil entraînant d’une idée à l’autre, à la lecture de la solution, je viens de retrouver le titre d’un roman que je cherche depuis 2 ans.
Il s’agit de « Pleure, ô pays bien aimé » de Paton qui traite également de l’apartheid.
En tout cas, Bravo à Elizabeth, qui malgré les soucis techniques nous coiffe tous au poteau!
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Oui, le terme de « saisons »… André Brink, un précurseur, un irréductible.
Si elle ne l’a déjà lu, il faut envoyer comme cadeau le livre à Elisabeth, l’heureuse gagnante !
C’est mieux que du Reza (j’en parle car je ne l’ai pas lu).
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Bien sûr, Elisabeth a lu cette « saison blanche et sèche ».
Elisabeth, qui vit en Nouvelle Zélande, connaît bien l’Afrique du sud.
Peut-être un jour nous en parlera-t-elle un peu plus?
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merci
Oui j ai lu pratiquement tout Andre Brink
Il a beaucoup de connections avec la France d’ailleurs …….
et sur le sujet ..( l afrique du Sud ) je recommande aussi Coetze – mais je ne suis pas sure si c est traduit .
A samedi prochain …
Bon au fait ca y est les Bleus ont perdu le Rugby – …chacun son tour …et que le meilleur gagne – mais franchement ca ne m interesse guere ces bousculades pour un ballon …. je prefere un bon .. bouquin !!
PS cote technique .. au travail je peux envoyer des ‘commentaires’ mais pas de chez moi …J ai Vista maintenant, peut etre est ce le coupable .
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A posteriori et à reculons (et vice versa), un autre fil aurait pu nous amener à André Brink. Chantal, toutes tes enigmes récentes ont un point commun, la résistance. Résistance aux systèmes oppressifs, aux idées bienpensantes, bref aux injustices. Au moment où on aurait pu penser, face à la crise que subissent démocratie et libertés personnelles, qu’on était bien foutus, ces témoignages nous rappellent d’anciens et tout aussi difficiles combats. No pasaran!
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Merci Nicolas, merci pour le décryptage.
C’est vrai, a posteriori, les choses paraissent si évidentes! Nelson Mandela à la tête de l’Afrique du sud, les bus mixtes aux Etats-Unis, le droit de vote des femmes, la protection de l’enfance…
Pourtant, à l’époque où A Brink écrivait « Une saison blanche et sèche », ce n’était pas évident. Résister aux système oppressifs, comme tu le dis si bien, chacun à son niveau, aussi modeste soit-il, c’est vivre en homme libre.
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Je suis très touchée par cette oeuvre d’André Brink qui me fait toujours pleurer .Ce romancier engagé a eu beaucoup de courage….
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une saison blanche et seche:oevre temporelle ou atemporelle!
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cet oeuvre est a felicite car l,auteur est un homme bon qui pour une foi a ose ecrit pour denoncer l,apartheid ce que d,outre n,ose pas le faire les noires ont toujours ete victime du racisme dans le monde cet homme merite le pris nobel car grace a lui l,afrique du sud est aujourd,hui un pays de paix meme comme il n,a pas pu atteindre son objectif qui etait de radier le racisme sa memoire sera toujours respecter il restera toujours mon idole et me marquera toute ma vie
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bjr ,j’apreci le travail de ce livre .le faite de montrer o monde entier ce qui ce passe est une bonne chose.merci.
parlant du livre ,de la premiere page en passant par les image a la fin de l ouvrage c’ du bon,tres interessant et educative.
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bjr j’appreci vraiment c’est auteur qui a su denoncer l’apartheil.c’est une oeuvre parfaite.merci beaucoup de ns ouvrir grand les yeux.surtout a ceux a qui ne l’on pas encore lu de le lire;l’ecrit est bienl’oeuvre a étè une reussite;merci .
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Salut c’est avec un grand plaisir que je remercie l’auteur car après la lecture de cette œuvre,j ai pu savoir ce que c est que le racisme et en d autre terme que ce n est guerre une bonne chose.Cet auteur est vraiment a respecter car il a su par son œuvre présenter l’apartheid. Merci.
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une saison blanche et seche ecrit par le surd africain Andre Brink et publier en 1980 en vertion francaise ki a pr resume la reche de la mor de gorgon part le heroben
l’auteur profite de cette occasion pour montre la situation de l’afrike du surd pendan la fameuse apartheid
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Andre brink pour moi c’est le meilleur écrivain que l’afrique n’ai jamais connu donc ki konc dirait du mal de lui est gros jaloux
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Je le remercie en particulier parcq apres avoir lu son oeuvre intitulé 1e saison blanche et seche j’ai compris que l’afrique du sud sortait vraimnt d très loin et q el meritait vraimnt du respect…
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g remercis vraiment cet andré brink ca grace a son œuvre une SBS jai pu comprendre que l’afrique en génèrale et l’afrique du sud en particulier á beaucoup souffet.
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