L’énigme du samedi: quand les chemins d’exil révèlent le goût de notre monde

Du monde,

il a su révéler le goût.eclairs.1181939101.jpg

Et parcourant les chemins d’exil

il réconcilie les cultures qui l’habitent.

C’est un immense écrivain.

Avez-vous deviné de qui il s’agit?

6 commentaires sur “L’énigme du samedi: quand les chemins d’exil révèlent le goût de notre monde

  1. On cherche on cherche, on est là. On a des pistes sans preuves flagrantes : Rushdie dans la bibliothèque avec le chandelier, Kundera dans la cuisine avec le couteau, Troyat (immense ?.. quantitativement, oui…) dans la chambre avec le revolver, Gorki dans le salon avec la corde… Quel Cluedo !…
    Sinon Vasquez Montalban colle bien avec l’écrivain de la cuisine, mais il n’était ni exilé ni reconnu comme immense…

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  2. Que voilà une bonne question vite résolue grâce à :francparler.com

    « De but en blanc
    De façon directe, sans détour

    Cette expression est issue du vocabulaire de l’artillerie.

    Le mot de but ou butte désignait à l’origine le monticule sur lequel on plaçait le canon pour tirer *. Le blanc était la cible à atteindre.
    Rappelons que selon la distance et la puissance de l’arme, la trajectoire du tir peut être plus ou moins tendue. Tirer de but(te) en blanc signifiait tirer en ligne droite, selon la trajectoire la plus directe.

    Annoncer quelque chose de but en blanc, c’est, à partir du sens figuré, annoncer quelque chose sans détour, de manière directe.

    * : Ce n’est que plus tard (XVIIème s.) que ce qui désignait le point d’origine du tir est devenu l’objectif visé lui-même, dans un sens plus général (donnant notamment être un butte aux attaques). »

    Mais, ce n’est pas Le Clézio, l’écrivain à deviner ce matin!
    Ni les auteurs du nouveau Cluedo proposés par Posuto.

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  3. Bonjour Chantal,

    c’est toujours difficile de venir sur l’enigme du samedi matin , car jour des courses … mais chaque fois que je peux je passe . Merci beaucoup pour tes mots

    Je vais essayer samedi prochain

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  4. On pense à Antonio Tabucchi, assez cosmopolite, mais dans son oeuvre il n’y a pas l’air d’y avoir de la nourriture au 1er plan… Un petit indice Chantal ? Remarquez la dernière fois que je vous en ai demandé un, la réponse était en bas de ma rue…

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