Mais oui! « Des souris et des hommes »! (1937). Dominique Hasselmann a raison qui offre dans son billet une autre approche de la misère humaine.
Ecriture monocorde de Steinbeck pour traduire ce sous-monde des hommes laissés pour compte. « Les raisins de la colère » ( 1939) décrivaient une famille réduite à la misère par la crise des années 30. Y aurait-il un rapport avec la crise d’aujourd’hui?
Ici, « George Milton et Lennie Small sont deux amis qui errent sur les routes de Californie en travaillant comme journaliers. George et Lennie partagent depuis toujours le même rêve : posséder un jour une petite exploitation, pour y vivre « comme et y élever des lapins. Car Lennie nourrit une passion bien enfantine : il se plaît énormément à caresser les choses douces. Doté d’une très grande force physique, il ne parvient pas à dominer sa puissance hors de l’ordinaire. Il est également intellectuellement déficient, et passe constamment pour un « idiot ». Cela finit par lui causer des ennuis avec Curley, le fils du patron et sa femme. En effet, la femme de Curley va proposer à Lennie de lui caresser les cheveux…. » (extrait de Wikipedia)
Merci, Chantal !
Steinbeck reste sans concessions.
J’ignore si le violoniste représenté sur la couverture de l’édition en Folio possédait même un étui pour son instrument…
J’aimeJ’aime
Bravo Dominique et bon dimanche à tous à nous qui sommes à l’abri du froid.
J’aimeJ’aime
Dominique Hasselmann ? Des photos et un homme…
J’aimeJ’aime
J’aime beaucoup ce livre qui m’a fortement impressionnée à 16 ans quand je l’ai lu. Bravo à DH. Je n’aurais pas deviné.
J’aimeJ’aime
lectures adolescentes! Il faudrait les relire avec plus de recul.
J’aimeJ’aime