Du signe écrit isolé au texte littéraire, de l'écriture des uns et des autres, à travers les siècles ou les continents, je cherche à partager l'intérêt qui m'anime pour les mots, le verbe, la musique, les couleurs, le mouvement et tant d'autres choses encore...
Je suis/j'étais professeur de lettres, écrivain/toujours, animatrice d'ateliers d'écriture/encore, mais qu'importe le moi dans la course du monde?
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11 commentaires sur “L’énigme du samedi: de la liberté de choisir qui fonde notre identité”
Cela fleure bon les Lumières.
Rousseau, peut-être, en recherche d’identité.
Je suis partie sur la piste des écrivains nés la même année que la Dame de fer mais le résultat n’est pas très probant : Henri Michaux, Jean Cocteau, Pierre Reverdy ?
Après, je suis tombée sur les morts en 1889 : Auguste de Villiers ou Barbey d’Aurevilly, mais ça ne colle pas plus.
Bref, je passe la main à de plus malins…
Ma solution ne colle pas…malgré la patte des « débouleurs », fins dénicheurs, très souvent, de ce que je n’ai pas encore débusqué moi-même… Non mais! Quelquefois, on s’engage sur des chemins par trop proches de l’actualité littéraire pas encore oubliée.
Réfléchissons. L’identité ( pas celle nationale, débattue dans la honte des protocoles préfectoraux), non, l’identité, celle qui nous structure, homme ou femme, l’identité construite à partir d’un modèle paternel qu’on aurait choisi… Cela ne vous dit rien?
Bon, voici que les dés sont relancés!
Le Père Goriot est souvent considéré comme un ouvrage sur la paternité et sur ce qui la fonde. C’est le premier titre qui me vient à l’esprit.
Cela fleure bon les Lumières.
Rousseau, peut-être, en recherche d’identité.
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Comme Jeandler et Dominique Hasselmann vont bientôt débouler, je me permets de mettre ma cervelle au repos.
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Bonjour
Peut être « les essais » de Montaigne?
🙂
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Je suis partie sur la piste des écrivains nés la même année que la Dame de fer mais le résultat n’est pas très probant : Henri Michaux, Jean Cocteau, Pierre Reverdy ?
Après, je suis tombée sur les morts en 1889 : Auguste de Villiers ou Barbey d’Aurevilly, mais ça ne colle pas plus.
Bref, je passe la main à de plus malins…
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Albert Jacquard ? Alors, au hasard, « Eloge de la différence » (1981).
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Une belle idée, Dominique Hasselmann, et un très bon livre que certain (nombreux) devrait faire leur.
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@ jeandler : en « déboulant » à deux, on devrait finir par éviter à Chr. Borhen de se creuser plus avant les méninges !
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Dans mon foutris, je ne parviens pas à retrouver mon Eloge de la différence!
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Un beau texte! Mais de qui?
Laissons le dernier mot à ceux qui ont déboulé : Dominique et Jeandler !
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Ma solution ne colle pas…malgré la patte des « débouleurs », fins dénicheurs, très souvent, de ce que je n’ai pas encore débusqué moi-même… Non mais! Quelquefois, on s’engage sur des chemins par trop proches de l’actualité littéraire pas encore oubliée.
Réfléchissons. L’identité ( pas celle nationale, débattue dans la honte des protocoles préfectoraux), non, l’identité, celle qui nous structure, homme ou femme, l’identité construite à partir d’un modèle paternel qu’on aurait choisi… Cela ne vous dit rien?
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Bon, voici que les dés sont relancés!
Le Père Goriot est souvent considéré comme un ouvrage sur la paternité et sur ce qui la fonde. C’est le premier titre qui me vient à l’esprit.
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