L’énigme du samedi: quand le corps se donne en gage…

Décor de Carnaval

ou miroir de l’humanité entière,

la ville est celle où

emprunter

peut se faire

en gageant une part

de soi-même.

Quelle oeuvre célèbre est évoquée à travers ces lignes?

Image empruntée ici

 

 

7 commentaires sur “L’énigme du samedi: quand le corps se donne en gage…

  1. Allez, emballé c ‘est pesé, le trophée revient (ou plutôt reste) à jeandler.

    Avec un miroir montrant la caricature la plus répandue du juif mais aussi sa tentative pour la dépasser :
    – « « Je suis Juif… un Juif n’a-t-il pas des yeux ? Un Juif n’a-t-il pas des mains, des organes, des proportions, des sens, des émotions, des passions ? N’est-il pas nourri de même nourriture, blessé des mêmes armes, sujet aux mêmes maladies, guéri par les mêmes moyens, réchauffé et refroidi par le même été, le même hiver, comme un chrétien ? Si vous nous piquez, ne saignons-nous pas ? Si vous nous chatouillez, ne rions-nous pas ? Si vous nous empoisonnez, ne mourons-nous pas ? Si vous nous faites tort, ne nous vengerons-nous pas ? Si nous vous ressemblons dans le reste, nous vous ressemblerons aussi en cela…» (MV, III,1, p. 155)

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  2. Ce matin, il n’y avait rien, donc je n’ai pas insisté.
    Il faudrait fixer une heure de parution pour que l’on ne rate pas ce rendez-vous… car sinon c’est toujours jeandler, à l’affût en permanence devant son écran, qui rafle la mise (sauf exception) !!!

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  3. > Dominique, je ne passe que quelques instants devant l’écran. Je ne suis pas addict, comme l’on dit …
    J’ai, sur ma lancée, disons vers 10 H 15 au plus, fait ce qui pour moi était une ultime supposition. Mais le message ou bien n’a pas voulu passer ou bien a mystérieusement disparu… Je garde par devers moi cette proposition afin de faire travailler vos méninges sans vouloir faire de l’ombre à vos cogitations. Bon courage et bonne fin de journée.

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