L’énigme du samedi: le best-seller de l’actualité brûlante

Ce n’est pas le peintre de ces natures mortes

réprouvées par la morale catholique.

Il dit s’être inspiré de Balzac, voire de Zola.

Il est vrai qu’il excelle dans la description de la société qui l’entoure.

comedie-humaine.1224256117.gif

Son best-seller d’hier, aujourd’hui bien dépassé,

reprend la une

de notre actualité…brûlante.

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Trop facile!

Il est évident que cette simple évocation

vous a immédiatement suggéré le titre de

ce best-seller et le nom de son auteur.

Illustration: parcours-labyrinthe de la Comédie humaine

13 commentaires sur “L’énigme du samedi: le best-seller de l’actualité brûlante

  1. Je pense à la suite romanesque de Jules Romains : » Les hommes de bonne volonté » qui me paraît correspondre : un best-seller d’hier, , le labyrinthe de Balzac (ou Zola) une description de la société qui l’entoure… Je ne suis pas convaincue quant à l’actualité brûlante.. mais peut-être la réponse est-elle dans cette analyse de l’oeuvre :

    Monde diplomatique avril 2004

     » S’il se laissait aller à juger par lui-même, Edmond apercevrait volontiers trois grandes catégories dans la société : les veinards de naissance, qui sont arrivés au monde avec de l’argent ; les malins, qui s’entendent à rouler les copains, et que la veine aussi favorise, non à leur naissance et d’un coup, mais durant toute leur vie et à coups répétés ; enfin les exploités, qui doivent leur situation à leur manque de canaillerie comme à leur manque de veine. »
    ou encore

    « Ce qui compte, ce sont les trois grandes catégories. Ce qui presse, c’est d’arrêter l’écrasement de la troisième par les deux premières. Et c’est ici qu’Edmond retrouve ses convictions socialistes. L’injustice au profit des veinards de naissance, il serait facile de la supprimer d’un trait de plume, en confisquant les gros héritages. Mais elle se reformera vite au profit des malins, tant que les mécanismes de la société seront les mêmes. Les « partageux », comme on en rencontre encore qui discutaillent sur les places ou chez les bistrots des vieux quartiers, sont des ignorants et des naïfs. Les garçons de la génération d’Edmond savent bien que l’essentiel, ce n’est pas de faire rendre gorge aux gagnants, c’est de changer les règles du jeu »

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  2. Seraient-ce Les grandes familles, de Maurice Druon?
    Je ne connais que le film, sur le fond rien n’a beaucoup changé… ces familles existent encore, seulement elles sont maintenant dépassées par les métastases financières dont elles sont responsables.
    Quant à la qualité de l’écriture, je m’abstiens donc de tout commentaire!

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  3. Et si c’était La condition humaine de Malraux?
    un best -seller d’hier dans la tradition de Balzac et Zola dont il se réclamait et qui parle d’un sujet (ou plusieurs ) brûlant(s) d’actualité: « L’angoisse d’être homme », le trafic d’armes ( allusion à L’Angolagate?) et l’importance de la Chine à notre époque.
    Mais je ne suis pas convaincue! car je n’élucide pas l’allusion aux natures mortes. De plus, je me demande pourquoi vous n’avez pas mis le titre du tableau et que signifie la ville en feu?

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  4. Et si c’était les Raisins de la colère ? (à cause de la fatigue sans doute, j’avais écrit les « raisons » de la colère… Un appel de mon inconscient pour m’encourager à construire une barricade ?…)
    Kiki (2e essai)

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